Nichée au cœur des paysages luxuriants de Madère, la ville animée de Funchal, la capitale, a de quoi séduire les voyageurs avec son mélange unique de beauté naturelle, de patrimoine historique et de délices culinaires. Avec ses rues pavées serpentent à travers son quartier historique et où les vues panoramiques sur l’océan Atlantique abondent, Funchal charmera ceux et celles qui recherchent un subtil mélange de culture, de gastronomie et de joie de vivre, surtout au moment de l’Avent où la ville s’illumine et s’anime avec son Marché de Noël.
Cet article est écrit dans le cadre d’une collaboration avec Visit Portugal et comporte des liens d’affiliation.
Madère… enfin, nous nous rencontrons. Je me souviens très bien d’un reportage, vu alors que je devais avoir 8 ou 9 ans, où j’avais entendu pour la première fois ton surnom : « L’île aux fleurs ». A l’atterrissage, je découvre une île très montagneuse, au relief tourmenté, et toute verte, perdue dans le grand Océan Atlantique comme une émeraude posée sur un coussin recouvert de satin bleu. Connue depuis l’Antiquité, Madère reste inhabitée jusqu’à ce que les Portugais n’y débarquent en n’en prennent possession en 1419. Située entre l’Europe, l’Afrique et les Amériques, Madère va devenir une importante escale pour les navigateurs et explorateurs. Île volcanique, au climat subtropical d’éternel printemps, où tout pousse avec abondance (pourvu qu’on s’adapte à son relief tourmenté), Madère, et surtout Funchal, devient vite prospère pendant la grande époque des explorations, avant de décliner. Si la grande partie de la population est restée pauvre jusque dans les années 1990, la construction de nombreuses infrastructures en font un haut lieu du tourisme. Aujourd’hui, c’est même la deuxième région la plus riche du Portugal.
Comme la plupart des visiteurs, il y a de fortes chances que, une fois sortis de l’aéroport, votre premier contact avec Madère soit Funchal, sa capitale, et plus grande ville de l’île. Plus de 110.000 habitants y résident, quasi la moitié de la population. Une ville qui semble dégringoler en cascade depuis les collines jusqu’aux quais du port. Elle semble s’être développée un peu anarchiquement, là où le terrain permet de construite. Si Funchal est grande, son cœur historique est, lui, plutôt compact et se visite facilement en une journée. Alors, pourquoi ne pas le découvrir avec un food tour ?
Un Food Tour à Madère
Quoi de mieux qu’une visite guidée au fil de sa gastronomie pour découvrir une destination ? Nous sommes pris en charge par Graça, de Madeira Wine Tour qui va nous emmener toute la matinée, et une partie de l’après-midi pour une balade à travers Funchal, rythmée par 9 délicieuses étapes C’est dans les Jardins municipaux que nous commençons notre exploration. Une jolie introduction à la nature exubérante de cette île. Même en plein mois de décembre, les fleurs restent abondantes. Au fur et mesure que nous traversons les jardins, Graça nous montre des arbres ou des buissons, mentionnent leurs mois de floraison… A chaque moment de l’année, ses fleurs. Mi-décembre, les hortensias fanent mais les poinsettias, les fameuses “roses de Noël”, poussent comme de la mauvaise herbe. Les oiseaux de paradis, fleurs importées d’Afrique du Sud, sont aussi au pic de leur floraison. Il est 10h et il doit faire une petite vingtaine de degrés, le soleil brille… J’ai l’impression de revivre après des semaines de météo pourrie sur la Belgique. L’air marin vient me titiller les narines. Tout à un air de vacances et les trottoirs faits de galets noirs et blancs me rappellent ceux de Lisbonne et de Rio. Je crois que je suis déjà en train de craquer ! Mais sans crier gare, nous voilà à notre premier arrêt : chez un producteur de vin de Madère.
Je n’en n’avais jamais bu et c’est chez un des plus prestigieux vignerons que allons faire cette dégustation matinale. De quoi nous mettre d’excellente humeur pour le reste du parcours ! Un lieu plein de tradition et d’excellence mais que je ne peux vous révéler, l’exclusivité restant à Wine Tours Madeira.
Au fil de nos arrêts, nous allons déguster des plats, et des boissons, typiques de l’île : Carne de vinha d´alhos (viande de porc cuite avec du vin et de l’ail), le pain de maïs frit, des gâteaux et biscuits, des chocolats (fourrés aux nombreux fruits de l’île), du thon à l’ail, du poisson au coulis de fruit de la passion, sans oublier le fameux Bolo de caco, un pain plat qu’on accompagne de beurre d’ail et de persil (oui, à Madère, on aime beaucoup l’ail et ce n’est pas fait pour me déplaire). Côté boisson, outre le vin de Madère, nous goûterons le soda typique de l’île au fruit de la passion (qui a eu un prix d’excellence), la bière Coral (LA bière de l’île), du vin de table et surtout, le poncha.
En chemin, vous découvrirez la Cathédrale Notre-Dame-de-l’Ascension (Sé do Funchal). Construite près de 100 ans après la “découverte” de Madère par les Portugais, cette cathédrale gothique, à l’impressionnante arche vaut une visite rien que pour son plafond en bois de cèdre local qui rappelle le style islamique avec des moulures en « alfarge » (stuc moulé). De là, vous pouvez prendre la Rua João Tavira, une des rues piétonnes de la vieille ville (Zona Velha da Cidade). La voirie est orné de jolis motifs en galets qui représentent différents symboles de l’île : un galion avec la date de l’arrivée des Portugais, des oiseaux de paradis, des bananes, la rosace de la cathédrale, des grappes de raisin… Nous allons également passer devant l’hôtel de ville et le Musée d’art sacré de Funchal. Ne loupez pas non plus les « portes parlantes », des portes de maisons customisées par différents street-artistes qu’on retrouve un peu partout, notamment dans la Rua Santa Maria.
La food tour se termine sur l’un des lieux emblématiques de Funchal : son marché couvert (Mercado dos Lavradores). Cet élégant marché couvert, construit fin des années 1930 abrite tout ce dont les locaux ont besoin pour s’approvisionner. Tout en bas, le poisson, tout frais, préparé devant vous. Au niveau de la rue, le marché est organisé autour d’une “place” centrale où on retrouve les maraîchers, les fleuristes, les vendeurs d’épices… C’est un incontournable de Funchal. N’hésitez pas à vous balader pour découvrir toutes les richesses que produit le riche sol madérien. Les fleurs (dont les jolies protées, fleurs importées d’Afrique du Sud et que l’on retrouve dans tous les stands) légumes, bien sûr mais aussi les fruits et à Madère, il y a des découvertes à faire en la matière !
Si le fruit de la passion (maracuja), la banane (de petite taille et très sucrée) et le raisin sont les fruits rois, le climat subtropical permet de cultiver un nombre impressionnant de fruits que nous avons l’habitude voir (le kiwi, la mangue, la goyave, l’avocat, le fruit du dragon, la pomme et poire sur la côte nord…), Madère surprend avec le tamarillo (fruit de la famille des tomates), le cerisier du Brésil, l’anone (ou “banana maracuja”, qui ressemble à la banane mais est en fait un cousin du fruit de la passion) ou l’étrange fruit de la Monstera deliciosa (oui, oui, la plante aux grosses feuilles dentelées qui fait fureur dans les intérieurs depuis quelques années), qui à la taille d’un concombre et un goût entre la poire, l’ananas et la banane.
Je peux te certifier, Lectrice, Lecteur, qu’après çà, tu n’auras plus faim !
La broderie, patrimoine de Madère : l’atelier de Bordal
La broderie de Madère est un artisanat qui remonte aux débuts du peuplement de l’île. Même aujourd’hui, elle reste faite à la main. C’est au XIXe que la broderie commence à devenir une affaire sérieuse à Madère et ce sont à nouveau les Anglais, qui étaientt déjà friands du vin local, qui vont s’enticher de la broderie et la populariser. Tant et si bien que le trousseau du couple d’York (le prince Andrew et Sarah Ferguson) sera fait à Madère. C’est ce que nous allons découvrir dans les ateliers de Bordal, le plus célèbre fabricant de broderie. En entrant, on a vraiment l’impression de faire un saut en arrière dans le temps. Bordal compte plus de 60.000 designs dans ses cartons (en plus de nouveaux qui sont crées par leurs designers). En grimpant les escaliers, on découvre la première étape du travail manuel : le picotage où la piqueuse (une majorité de femmes travaille dans ce secteur), troue un patron de papier en suivant le motif.
Le papier passe ensuite à l’estampage où on applique une teinte bleue sur le patron. la teinture passe à travers les trous sur le tissu, laissant le modèle à suivre pour les brodeuses. Si nécessaire, les tissus sont cousus avant d’être envoyés chez les différentes brodeuses réparties à travers l’île et qui effectuent le travail à la main. Une fois l’ouvrage terminé, il est ramené à l’atelier, lavé, cousu si nécessaire, repassé et prêt à être vendu. En cette époque de Noël, ce sont surtout les articles de tables (serviettes, nappes, décorations, couvertures de pain ou de bouteilles de vin…) qui sont mises en avant mais on trouve aussi des chemises, robes, vêtements pour enfants (particulièrement mignons) en coton ou en lin. En plus d’avoir travaillé avec de grandes maisons comme Chanel, Bordal décore d’ailleurs la grande table du repas de Noël (qui se tenait le soir même de notre visite) et nous avons même croisé le patron, qui rentrait à l’atelier après avoir inspecté que tout était en ordre. Si vous aimez ce genre de choses (j’ai vraiment hésité à acheter des décos de table en forme de poinsettias brodés), c’est LE souvenir à ramener de Madère.
Téléphérique de Monte
Monte est un quartier qui surplombe le vieux Funchal. On le rejoint grâce au téléphérique, une chouette traversée, suspendus dans les airs, qui dure un petit quart d’heure. Pour ceux qui n’ont as le vertige, c’est le bonheur ! On a tout le loisir d’observer les toits de tuiles et l’océan qui brille sous le doux soleil d’hiver.
Jardins du Monte Palace
La station de téléphérique se tient à côté de deux jardins : le Jardin botanique de Monte (public) et les Jardins du Monte Palace, un immense parc privé. C’est ce dernier que nous allons visiter. Il tire son nom de l’hôtel Monte Palace, L’histoire commence au XVIIIe siècle lorsque Murray, alors consul anglais, achète cette grande propriété pour y faire construire une quinta. A la fin du XIXe, la propriété est rachetée par Alfredo Guilherme Rodrigues qui la transforme pour en faire un hôtel, le Monte Palace. Après avoir été rachetée par la Caisse économique de Funchal après le décès du propriétaire, elle est vendue en 1987 à José Manuel Rodrigues Berardo, un riche Madérien ayat fait fortune en Afrique du Sud. Amateur d’art et de botanique, il transforme l’hôtel en musée et les jardins, en galerie à ciel ouvert. Des statues d’artistes zimbabwéens côtoient des statues de terres cuites chinoises et de grands panneaux en céramiques qui racontent l’histoire du Portugal jusqu’au XXe siècle mais aussi, de céramiques et d’azulejos anciens.
Quant aux jardins, ils regroupent une large gamme d’espèces issus de différents climats. Depuis les bruyères, azalées et hortensias jusqu’aux fougères arborescentes, palmiers, un jardin oriental, un petit lac… et même des flamants roses en résidence permanente. On peut passer des heures à s’y promèner le long d’escaliers qui montent et descendent, rythmés par des oeuvres d’art antiques et contemporaines. Une curiosité : une espèce de grottes où sont exposés des gemmes, dont d’énormes améthystes.
Descente en mode toboggan
Monte, c’est aussi le lieu de départ d’une attraction touristique : la descente de la colline de Monte en traineau en osier : les Carrinhos de Cesto. Nés au XIXe siècle de la nécessité de transporter plus rapidement les gens de Monte à Funchal (de nombreuses personnes aisées avaient leurs villas sur les hauteurs et devaient descendre vers la vieille ville), l’arrivée de la voiture les a rendus obsolètes. Ces véhicules de bois et d’osier de fabrication artisanale, faisaient tellement partie du paysage qu’ils n’ont jamais disparus et sont devenus une des icônes de Madère, transportant maintenant des visiteurs qui ont envie de sensations un peu fortes. Le point de départ se situe près des Jardins de Palace Hotel, au 4, Caminho do Monte.
Le traineau peut accomoder 2 personnes. Il est d’abord tiré par des conducteurs (les « carreiros »), habillés de légers costumes blanc et coiffés d’un chapeau de paille. Après le tirage initial, les conducteurs se dépêchent de se mettre à l’arrière du traîneau pour le diriger et le freiner au cas où. Vous voilà en train de dévaler 2 kilomètres à (presque) toute vitesse (perso, ça aurait pu encore aller plus vite). C’est juste génial ! Et quand la rue s’aligne avec une vue sur l’océan, c’est très impressionnant ! Heureusement pour nos carreiros, si leurs prédécesseurs devaient remonter à pied avec le traîneau, ça se fait maintenant en bus.
Pico de Barcelos : Point de vue de rêve
Pour admirer Funchal d’en haut, au coucher du soleil, rendez-vous sur le Pico de Barcelos, l’un des nombreux points de vue qui entourent la capitale. Le point de vue est joliment aménagé, avec fleurs et toilettes ! Devant vous, Funchal s’étend jusqu’à un océan qui brille sous les rayons du soleil qui décline. Au sud-ouest, on peut apercevoir les côtes d’une des Ilhas Desertas, des îles non-habitées de l’archipel de Madère. C’est superbe ! Graça nous montre du doigt l’église principale de Santo António, la commune où vivait Cristiano Ronaldo et où il fait ses premiers pas dans le monde du football. Deuxième Dieu de Madère, l’aéroport porte même son nom.
Funchal et son marché de Noël
Une fois le soir tombé, Funchal reste animée avec ses nombreux bars et ses petits restaurants. L’été, la fraîcheur s’installe et il fait bon se promener par contre; si vous êtes à Madère pendant la période de l’Avent, vous allez en prendre plein les yeux. Noël se fête en grande pompe et jamais je n’ai vu une ville aussi illuminée. On dirait que pas une seule rue n’y échappe. Dans le vieux Funchal, le marché de Noël s’allume, avec chalet de nourritures, d’artisanat, chants de Noël et bien sûr, une immense crêche. En plus de la classique scène de Nativité, la crêche se prolonge avec des scènes de la Madère de jadis. Des figurines d’habitants en costumes traditionnels reproduisent des scènes de la vie quotidienne : on cultive son potager, un guitariste sérénade une dame, autre autre porte un pannier d’osier sur sa tête, un fermier monte sur le dos de son boeuf… C’est charmant et les détails sont minutieux.
Quel sentiment étrange que de se balader dans un marché de Noël en t-shirt et veste légère ! Et pourtant, l’ambiance de fête est la même, juste un peu plus alanguie par l’air venant de l’océan, quand la balade s’achève sur l’Avenida do Mar. S’ajoute aux illuminations un grand paquebot, qui quitte lentement le port de Funchal, comme un ornement de sapin de Noël qui glisserait dans un grand vide noir.
Où manger à Funchal
Já Fui Jaquet
Dans une des rues historiques de la Zona Velha, la rua Santa Maria, ce restaurant propose des plats typiques de la cuisine cuisine madéraine et porugaise : poulpe grillé, sabre noir à la Já Fui Jaquet, joue de porc avec crumble de pain de maïs sauté… Un bon restaurant à la bonne franquette (si vous êtes en groupe, on vous propose de prendre plusieurs plats à partager, façon tapas). La terrasse est particulièrement agréable et l’intérieur, habillé de blanc et bleu, respire l’air marin.
Zona Velha do Funchal, Rua de Santa Maria 5
9060-291 Funchal, Portugal
Restaurante Do Forte
Pour une expérience un peu plus chic, rendez-vous dans ce restaurant logé dans le fort historique de Saõ Tiago, qui date du XVIIe siècle. Une expérience intimiste dans un cadre qui en jette, surtout si on dine sur la terrasse qui donne sur l’océan. L’effet wow est là. Côté cuisine, c’est pkutôt fusion. On retrouve des spécialités portugaises, d’autres françaises et il y a toute une liste de pâtes, de risotti et aussi, pour accomoder la nombreuse clientèle britannique, de l’agneau à la sauce menthe. Les petits morceaux que j’ai mangé (je sortais d’une intoxication alimentaire subie la veille de mon départ) étaient délicieux et les assiettes, joliment présentées. Ca en jette dans tous les sens et le service est top.
Tv. do Forte 3,
9060-123 Funchal, Portugal
Horta Restaurant
Rien à voir avec notre Victor Horta bruxellois. Ce restaurant contemporain situé dans le luxueux complexe de Porto Bay fait référence au jardin potager du restaurant (horta, d’où le nom horticulture) dont le chef tire une partie de ses ingrédients. Le reste est issu de fermes et de pêcheurs locaux. La cuisine est saine, moderne, avec un large de choix d’options végétarienne/véganes et pour ceux qui aiment la viande ou le poisson, une grande particularité : un grill Josper, une Rolls-Royce du genre ! Sabres noirs, coquelets et entrecôtes y passent ! Je n’ai pas été déçue de mon entrecôte accompagnés de légumes racines, bien de saison. L’intérieur est très étudier : plafond gaufré, tons de sable, matières naturelles comme le bois, la paille et des plantes, éclairage bien calibré… On y passe un excellent moment !
Rua de Leichlingen 11,
9004-566 Funchal, Portugal
Où dormir à Funchal ?
Quintinha São João Hotel & Spa
Un peu à l’écart du centre-ville, la Quintinha São João est un hôtel 5 étoiles au luxe discret. Pas de tapage ici. Juste un mélange d’ancien (avec des meubles vintage, issu du temps des grands-mères de Madère) et de moderne avec non pas une, mais deux piscine ! Une extérieure dans le superbe jardin et, celle que j’ai préféré, une semi-intérieure avec une superbe vue sur Funchal et la mer. Les chambres sont grandes (ce sont carrément des mini-suites avec un coin salon), au charme cossu, avec lit king-size… On sent à l’aise ! Le petit déjeuner est fabuleux (avec une offre buffet plus des plats à la carte, compris dans le prix du petit-déjeuner) et un service qui est un des plus courtois que j’ai jamais rencontré.
Prix à partir de 142 € avec petit déjeuner
Quintinha São João Hotel & Spa
Levada de S. João 4,
9000-191 Funchal, Portugal
Une destination qui m’intéresse pour y aller en famille. Est ce que tu me recommandes Madère avec des jeunes ados et un enfant en bas âge (4 ans) ?
Merci
Hello Chris, Ca dépend de la personnalité des enfants. C’est finalement une destination très nature. Je pense qu’il y a pas mal de choses à faire pour les plus jeunes (pour les ados, pas sûre) mais en numéro 1, certainement une balade en bateau pour aller observer les dauphins et les baleines. Il n’y a pas vraiment de plage de sable (outre que noir, sinon ce sont des galets) à Madère mais il y a une plage articielle, Calheta, avec une pleine de jeu au dessus. A Funchal, il y a le Musée du jouet. Si les enfanys aiment le foot, il y a aussi un Musée dédié à Cristiano Ronaldo (eh ouais). Les piscines naturelles de Porto Muniz, définitivement un peit tour en traineau d’osier, le skywalk du Capo Giraõ et sans doute une radonnée facile le long des levadas mais çà, j’en parlerai dans un autre article.
Merci, je vais regarder tout ça. A voir pout la rando le long des levadas.
J’avoue que je zieute de plus en plus sur les îles portugaires…
Ton article me donne encore plus envie !
La descente en traineau ça avait l’air original !
Merci Aurélie,
Je vais certainement te convaincre avec le 2e article en préparation, alors ! 😆😆😆
L’avantage de Madère, c’est qu’on a des vols directs avec Bruxelles, ce qui n’est pas le cas des Açores, par exemples. Franchement, je suis tombée sous le charme et prévois déjà d’y retourner. Et oui, le traineau, c’était assez unique. Dommage que ça allait trop vite pour faire des photos potables… mais j’ai beaucoup filmé aussi.
Je n’ose pas imaginer comment c’était dans le temps, quand les conducteurs devaient ramener leur traineau à pied !
tes photos m’ouvrent l’appétit ! j’avais adoré le marché de Funchal …
Oui, c’est vraiment un des endroits à ne pas manquer. Ça bruisse de partout, les parfums et les couleurs, c’est entêtant.
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