Thailand Academy : ça trompe énormément
Imaginez une jungle luxuriante… même au cœur de la saison sèche les arbres restent d’un vert éclatant. Vous vous trouvez dans un sentier ombragé. Vous avez un peu chaud, bien…
Imaginez une jungle luxuriante… même au cœur de la saison sèche les arbres restent d’un vert éclatant. Vous vous trouvez dans un sentier ombragé. Vous avez un peu chaud, bien…
Lectrice, Lecteur, une fois de plus, je fais appel à toi! Pour la deuxième année consécutive, je suis nominée pour dans la catégorie voyage des Vif Weekend Blog Awards, qui récompense…
Une semaine, une petite semaine… voilà le temps écoulé sur ce petit bout du monde que sont les Féroé. C’est peu, mais mes congés sont limités et mon budget aussi…
Au commencement, il y eu l’atterrissage ... sortis des nuages alors que nous venions de survoler la mer, l'avion se lance au dessus d'un mur de pierre qui semble se dresser devant lui à la dernière minute. Cela résume bien les Îles Féroés.
Il est temps de quitter le centre de Tallinn pour sa "proche banlieue" et un musée presque tout neuf: le Lenussadam (le Port à hydravions).
Au cas où nous ne l'aurions pas remarqués les éléphants sont une partie importante de la culture thaïlandaise Il suffit de voir le nombre de fois où les bête çà trompes sont représentées sur les ombrelles que l'on vend à l'Umbrella Making Center de Bo Sang.
Il semble que Kalevipoeg, figure estonienne mythique, soit avec nous: quand je tire mes rideaux, c'est un ciel d'un bleu immense qui s'étend sur la ville. Parfait pour une promenade! Première étape, le Quartier de Rotermann, juste à côté de notre hôtel.
Quand on dit qu'une compagnie nationale d'aviation, c'est un ambassadrice, on ne croit pas si bien dire! Avec des sièges et des uniformes aux couleurs d'orchidées, quand on entre dans…
Lectrice, Lecteur, Je ne sais pour toi mais en tout cas moi, quand je suis dans l'aéroport le jour du retour à la maison, j'ai un serrement au cœur. Surtout s'il s'agit d'une destination assez lointaine. Ce n'est pas tellement le fait de retrouver mon quotidien qui me flanque le blues, mais plutôt la pensée que, peut-être ou même sans doute, ce sera la dernière fois que je serai sur la terre que je visite. Une fois rentrée dans l'avion, le sentiment se dissipe, chassée par le plaisir d'être dans l'avion (car oui, pour moi, ça reste un plaisir).
Tallinn, Tallinn... tu m'as manqué... tes rues pastels et tes façades hanséatiques, tes portes dont on pourrait faire un livre, tes pâtisseries et tes alcools. Telle une vieille amie qu'on se plait à retrouver à chaque rendez-vous, tu étais là= fidèle à toi-même, mais ayant évolué aussi. Peut-être es-tu même un peu plus sophistiquée.